h LSDreams - 46: La Vérité, addendum.

   
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  46: La Vérité, addendum.
 

La Vérité


Addendum
 
   Le texte précédent, (La vérité), n’est qu’une partie condensée de tout ce qui eut lieu durant cette expérimentation, laquelle dura pendant douze heures environ. La narration a été faite de manière à ne pas reproduire l'intense et vive émotion que je ressentais alors, mais le manuscrit que j’écrivis au petit matin qui suivit cette expérimentation, alors que l’effet de la drogue avait cessé, est présenté ici afin de démontrer qu'il n'est parfois pas possible de décrire ce que l'on a vu et ressenti. Sur cela, il serait nécessaire de revenir plus tard et de consacrer à ce sujet une description qui aurait l'importance de tout un ouvrage littéraire.
Car, s’il est vrai que l’effet du LSD paraît cesser brusquement, il n’en demeure pas moins une trace chez l’expérimentateur qui éprouve alors des sentiments mitigés, tels que lla mélancolie, la tristesse ou encore une façon différente de réfléchir aux choses de la vie. Si l’expérimentateur, qui n’aura pas sommeil avant le soir ou avant très tard dans la nuit suivante, sort de chez lui, il percevra son environnement comme si celui-ci était plus beau ou plus paisible qu’auparavant.
   Les présents récits sont aussi les prémices de ce que je crois être l'apport supplémentaire à la connaissance universelle des drogues hallucinogènes.

Paragraphe 1:



Retranscription du paragraphe 1:
 
   J’ai vu que j’étais au niveau de la racine. J’ai vu que j’étais seul et Dieu m’a éclairé. J’ai vu des choses qui m’ont semblées être de la tentation et que je combattais en disant : il n’y a que la Vérité. J’ai vu que Dieu pouvait me faire changer de vie et j’ai souhaité voir Son Paradis, y aller tout de suite. J’étais prêt à mourir. Je me suis vu dans la tombe. Dans un trou dans la terre. J’espérais, mais je me suis assis dans la tombe et je me disais : que la volonté de Dieu soit faite, même s’Il voulait me damner. Mais la tombe est restée ouverte et j’ai vu le ciel étoilé. Il me sembla que mon Seigneur me refit espérer et mon Seigneur me refit espérer. Le Seigneur est bon, Il est miséricordieux.
 
Paragraphe 2:


  
 
Retranscription du paragraphe 2 :
 
   J’ai vu tant de choses. Mais dans toutes ces formes, dans toutes ces folies, dans toutes ces couleurs, Ses (Dieu) couleurs, dans cette course de l’atome, devant Son immensité, devant Sa toute-puissance et, par mon salut, j’atteste qu’il n’y a d’autre dieu que le Dieu unique, Dieu de toute chose, Dieu le Créateur, Dieu le Tout-Puissant. Dieu peut changer à l’instant à l’homme sa destinée. Avant toute autre chose, Il veut l’humilité et l’humilité Lui est due. Lui qui est sans limite et Son infime créature, comme un atome dans l’Univers, l’homme est si petit et impuissant et il doit être reconnaissant à la Grandeur de son Seigneur. Dieu fait voir Ses miracles, Dieu guide qui Il veut. Dieu montre Sa toute-puissance. Dieu nous montre la hideur du péché, Dieu nous montre la vérité, Dieu nous montre la vanité de la Tentation et son évanescence, de son charme si fragile et passager, de sa tromperie dans laquelle on aime se complaire, grâce à Dieu qui nous réveille, nous sortons d’un dangereux sommeil auquel nous voulions nous abandonner et Il nous fait proclamer la Vérité, il n’y a que la Vérité, Dieu nous conduit sur une voie plus belle, sur une voie plus éclairée et beaucoup plus merveilleuse que toutes les chimères du passé.
 
Paragraphe 3:


 
Retranscription du paragraphe 3 :
 
   Puis Il nous illumine un peu de Sa clarté, puis Il nous la retire lorsque nous avons péché, pour que l’on soit seul dans le plus profond des abîmes, dedans la fente d’un rocher, de Haut nous vient la sublime lumière de la Vérité. Il n’y a d’espoir qu’en Dieu. Il faut être humble. Il faut croire en la Destinée. Dieu, Tu me fais lever mon sabre pour défendre Ta Vérité et j’ai juré d’être un défenseur, un loyal serviteur de mon Dieu, je reconnais Sa toute-puissance, qu’entre Ses mains est ma destinée, que je ne me laisserai pas vaincre si j’aspire à l’Eternité, que je ne douterai…
 

Paragraphe 4:


 
Retranscription du paragraphe 4:
 
…jamais de mon Seigneur et que je combattrai pour la Vérité. Je serai parmi Ses serviteurs les plus humbles, j’espérerai Sa miséricorde, et, humblement, Le défendrai. Moi, Son atome, Sa création, dans toute cette immensité, je sais que mon Seigneur m’aime, comme personne ne pourra m’aimer.


Paragraphe 5:



Retranscription du paragraphe 5 :
 
   Je me suis couché sur la terre, sous les arbres de mon Seigneur, que Dieu me garde d’être parmi les damnés. Je crois à la Résurrection, aussi sûrement qu’une graine devient une racine et sort du sol et devient une plante. Elle sort de sous la terre et vois le Ciel de son Seigneur. J’ai refusé les spectacles de ce monde, j’ai refusé la vanité. Il n’y a rien d’aussi beau que l’amour. Dieu guide qui Il veut et il y a un jardin de l’Eden et des houris (femmes) autour de soi, il n’y a rien d’aussi beau qu’une merveille plus belle qu’un joli conte de fées, plus belle que la plus belle de toutes les histoires, plus splendides en couleurs et en beautés, plus limpide et plus lumineuse que notre réalité, il n’y a que la Vérité.
 
 
Paragraphe 6:
 


 
Retranscription du paragraphe 6 :
 
…et tant que je suis sur cette Terre, je sauverai ma liberté. Je me souviendrai de l’humilité. C’est dans son cœur qu’il faut aimer Dieu et Dieu dit la Vérité. Mes amours en seront plus tendres et plus pure sera ma dignité et je me souviendrai en toute circonstance de mon humilité. Si infime, si petit que Dieu m’ait créé, je ne suis pas perdu et ne suis oublié, mon Seigneur m’aime et me guide vers la Vérité, mon Seigneur me guide et m’éclaire, n’en déplaise aux athées, ni aux diables ni aux diablesses ni à la Tentation éphémère dans laquelle j’ai failli sombrer. N’était une Grâce de la Lumière, je me fus endormi bêtement. J’ai vu les avertissements de mon Seigneur et je risque d’être damné et la damnation est affreuse pour celui qui sait la vérité. Seul et non seul, non pas l’unique, mais seul sur la voie vers la Vérité, je prie Dieu en toute humilité de bien vouloir me sauver. Pour Toi, Seigneur, je combattrai. Préserve-moi de la perfidie de Satan et de ses tentations et guide- moi, car, sans Toi, je ne suis pas guidé.

 
Paragraphe 7:



 
 
Retranscription du paragraphe 7:
 
   L’araignée dans sa toile T’adore dans l’humilité et Tu lui accordes sa pitance qu’elle accepte avec humilité et c’est avec reconnaissance qu’elle prend la part que Tu lui accordes et, si ce n’était Ta grâce, qui sauf Toi la pourvoirait et, n’était pas la Vérité, en cherchant refuge auprès de Toi, Seigneur, de Satan le lapidé, j’ai évité de la déranger. Elle en appelle à Toi, Seigneur, comme tout ce que Tu as créé et Toi seul la gardes, si petite et si fragile qu’elle est, comme, O mon Seigneur, Tu gardes le plus petit atome de ce que Tu as créé et que Tu meux et tout fais vivre dans l’Espace,
dans Ton immensité, Tu es si bon et si doux, mais,
Seigneur, Ton courroux, garde moi de le mériter,
garde moi de la vanité, Toi, si proche et si bon, Tu t’en vas, retirant Ta Lumière, mais, lorsque Ton serviteur se résigne, Tu reviens à lui et
Tu l’éclaires et Tu le fais ré espérer.
Louanges à Dieu seul.
 
 
Paragraphe 8:



 
 
Retranscription du paragraphe 8:
 
   J’ai vu des millions de couleurs, j’ai vu des millions de choses animées, j’ai vu des chimères colorées, j’ai espéré la Vérité. J’ai vu des millions de colosses, taillés en bloc, immenses, invincibles et qui frappaient sans pitié de toutes les armes qu’on ne peut imaginer et, pour quoi que l’on se prenne,
ils grandissent en puissance infinie, comparé à eux, je ne suis qu’une infimité et devant Dieu, un atome qu’Il guide vers Sa liberté, qu’Il guide vers Sa Lumière, qu’Il guide vers Sa Sainteté, qu’Il guide vers Sa magnificence, qu’Il guide vers la Vérité qui guide vers Sa miséricorde. Il guide vers la Vérité. Il guide vers Sa bonté sans borne.

 
Paragraphe 9:



 
 
Retranscription du paragraphe 9:
 
   Il guide vers Son immensité, il n’y a de refuge qu’auprès de notre Seigneur unique, Le Saint, Le Souverain, Le Terrible, Le Pacifique, La Vérité. Il est Le Juste, Il est l’Equité, Il est bon, Il est miséricordieux. Quand tout au monde m’abandonne, je trouve Dieu dans Sa sérénité. Il est puissant, Il est sage, que Son divin Nom soit loué, Il est au-dessus de tout ce qu’on peut Lui attribuer, de tout ce qu’ils Lui ont associé, Il est souverain, Il est digne.
Son Amour est la Vérité.


Paragraphe 10:
 


 
 
Retranscription du paragraphe 10:
 
   J’ai vu des millions de folies, si j’ose nommer ainsi ce que je ne peux expliquer, je cherche un refuge auprès de Lui, de la Tentation perfide du malin, de la noirceur de l’âme, de l’hypocrisie invétérée, de ces démons qui s’entraccusent et Dieu montre la Vérité. Il faut être humble, il faut Le croire, sinon on risque d’être damné et se réveiller en Enfer dont on Le prie de nous sauver et ce qui
tombe en Enfer est exécrable, Seigneur, il l’aura mérité. Tu m’as montré l’Amour, Tu m’as montré la Vérité. Tu es juste. Tu es clément.
Tu reviens à Ta créature. Seigneur, si moi aussi j’ai péché, Tu pardonnes et, sans Toi, je ne serais pas sauvé. Ne me laisse pas dans l’ombre, pardonne-moi, car j’ai péché et j’ai le bonheur immense que Tu me guides vers Ta bonté.
Louanges à Dieu seul.
 
 
Paragraphe 11 :


 
 
Retranscription du paragraphe 11 :
 
   J’ai traversé des lettres dans l’Espace et elles étaient illuminées, elles tournaient seules dans l’Espace et je vis des choses cocasses, des têtes et des dessins animés, j’étais petit, à fleur d’herbe et j’ai tout de même refusé, j’ai vu des couleurs, des poursuites, dans un espace coloré, j’ai suivi des flèches et des choses étranges, dans une poursuite effrénée, j’ai imploré la Vérité, j’ai vu un million d’Anges combattre pour la Vérité, j’ai vu celui que son Dieu guide protégé par Sa toute-puissance, protégée par des armées d’Anges immenses, je les ai vus tirer en tous sens des flèches et des lames d’acier, faire feu de toutes sortes d’armes sur des satans damnés que je laissai, dans ma confiance, mon amour pour la Vérité, derrière moi dans la tourmente et celle que je traversais ; j’ai levé mon espoir vers Dieu, mon regard vers la Vérité, j’ai vu que les Anges, grâce à Dieu, me protégeaient, je compris que Sa toute-puissance guide un cœur, pour qui veut la Vérité, j’ai vu que la Tentation est grande, que le Malin est sans pitié, j’ai appelé Dieu depuis la tombe ouverte et Dieu m’a dit la Vérité.
 
 
Paragraphe 12:


 
 
Retranscription du paragraphe 12 :
 
   J’ai résigné au fin fond de l’abîme, dans la fente d’un rocher, j’ai levé vers Lui mon âme et Dieu m’a récompensé, j’ai vu Sa lumière dans ma misère et Dieu m’a illuminé. J’ai vu l’impitoyable Démon et la Lumière m’a quitté, j’ai imploré la Vérité, mon Seigneur Dieu, l’Unique, le Miséricordieux m’a re-baigné dans Sa clarté.
 
 
Paragraphe 13:



 
 
Retranscription du paragraphe 13 :
 
   Si Dieu le voulait, la vie ne serait qu’un rêve et Dieu sait où on se réveillerait. Malheur en ce jour-là dans la tombe, malheur en ce jour-là aux damnés, je prie Dieu qu’Il m’élève à la Lumière de Sa Vérité et c’est grâce à Lui, mon Seigneur, si j’échappe au Malin entêté, à tous ces diables qui veulent me perdre et sont contrits de me voir sauvé, à tous ceux dont Dieu m’arrache, avec grande facilité, lorsque, perdu dans Son Immensité, j’implore la Vérité.




Paragraphe 14:


 
 
Retranscription du paragraphe 14 :
 
   J’ai vu la tentation la plus vaine s’évanouir devant la Vérité, j’ai vu la faiblesse de l’homme, sans Dieu, il s’abandonnerait dans le rêve, dans la vanité, j’ai imploré la Vérité. Dieu sauve et Dieu guide avec bonté Sa créature, mais un ennemi perfide lui souffle des iniquités, j’en appelle à la Vérité, mon Seigneur Dieu, je ne suis qu’un atome, si petit dans Ton Immensité, pris dans la tourmente et la guerre dans cet espace en mouvement où Tu combats, avec Tes Anges, ces cohortes de diables et de démons qui veulent s’emparer de Tes créatures, que Tu défends dans Ta toute-puissance, ils sont laids comme des gorets, j’implore la Vérité. Mon Dieu, garde moi de tomber, j’en appelle à Ta miséricorde, Seigneur, j’en appelle à Ta bonté et Tu me donnes de la force que je garde avec humilité. 
 
 
Paragraphe 15 :



 
Retranscription du paragraphe 15 :
 
   Garde moi des tourments de la tombe et donnes-moi l’Amour dans les jardins de Ta miséricorde, Seigneur, aide moi à les mériter.
Sans Toi, Seigneur, je ne suis qu’un atome que Tu as illuminé, puis, dans la course folle, Tu en fais un homme, Tu l’as guidé vers Toi et Tu lui pardonnes. Seigneur, que Ton divin Nom soit loué. Tu es le Seigneur des mondes, Unique, Dieu de tout, Le Tout-puissant. Que Ton divin Nom, que Tes divins Noms, les biens vrais et les si beaux, soient loués en toute Eternité par la multitude d’Anges et par tout ce que Tu as créé dans l’Espace infini de Ton Immensité, Seigneur, que seul Toi connais, au-dessus de tout ce que l’on peut T’attribuer. 
 
 
 
Paragraphe 16 :



 
Retranscription du paragraphe 16 :
 
   Qu’elle est vaine, la vanité, si belle qu’elle nous semble, elle s’évapore comme un rêve devant Dieu, la Vérité.
Louanges à Dieu seul.
Seigneur, garde moi dans Ta course à l'ombre de Ta Vérité, Seigneur, Tu es Le Savant, Le Sage, préserve moi de l’égarement et, quoi que tentent les démons, sois loué au-dessus de la vaine tentation, au-dessus de tout, Toi Le Saint, Seigneur des mondes.

 
Paragraphe 17:




Retranscription du paragraphe 17 :
 
   Gardez-vous de ceux qui ne savent rien de notre religion, gardez-vous du malin et de sa tentation. Cherchez refuge auprès de Dieu, Lui seul est La Vérité.
Louanges à Dieu seul.
(Seule la Vérité importe).
J’ai vu le Nom du Seigneur des mondes et Sa divine Vérité, ornés dans des espoirs colorés, dans l’or et dans l’enluminure, il n’y a que la Vérité.
J’ai vu le Nom saint de l’Unique et Sa Parole, Sa Vérité, sur un humble et vieux papier, il n’y a que la Vérité.
Louanges à Dieu seul, le Dieu des mondes.
 

Paragraphe 18 :


 
Retranscription du paragraphe 18 :
 
   J’ai vu des millions de peintures, splendides fastes illuminés, des millions de fois plus belles que l’homme ne peut imaginer et combien elles m’apparurent (être) vaines en implorant la Vérité.
J’ai vu ce que des millions de moi-même ne sauraient jamais imaginer et dans leur magnificence, dans leurs mondes si colorés, dans l’erreur qu’ils frôlent, j’ai imploré la Vérité.
J’ai vu ce que des milliards de moi-même, en une vie, ne sauraient penser, ne fut-ce qu’un instant de l’âme dans toute cette immensité, j’ai vu ce que des nuées de moi-même, toute une vie, ne sauraient rêver, ne fut-ce qu’un atome de toute cette immensité et j’ai vu l’erreur immense où mon âme a failli sombrer, j’ai imploré la Vérité.
 
 
Paragraphe 19 :


 
Retranscription du paragraphe 19 :
 
  J’ai vu que l’homme peut se perdre s’il n’implore la Vérité, j’ai vu le vide de ma tombe, lit sous le ciel étoilé, j’ai imploré la Vérité. Dieu ne ferma pas la tombe et Dieu me et ré-espérer lorsque j’étais résigné et, sans Sa miséricorde, je ne serais qu’un damné. J’ai imploré la Vérité.
Louanges à Dieu seul, le Maître des mondes.
Rien n’est prévisible. Tout appartient à Dieu seul.
Louanges à Dieu.

 
Paragraphe 20 :



 
Retranscription du paragraphe 20 :
 
   J’ai vu que j’aurais pu être comme ce damné qui se berçait dans l’espoir et quelle perfidie l’a conduit à son tourment et à sa solitude et quel espoir il fondit en Dieu pur qu’Il le sauve.
Je prie Dieu de n’être pas un homme perfide.
J’ai vu l’espoir, la liberté, l’humilité dans l’adoration de Dieu, j’ai vu que Dieu fait de Son serviteur un chevalier honnête et preux, droit et juste.
Je cherche refuge auprès de Dieu, de l’orgueil et de la vanité, du mensonge et de l’abomination, de la prétention et de la perfidie, de l’hypocrisie et de la mécréance.
Amen.
J’ai vu des millions de couleurs dans un espace illuminé, des choses vivantes et étranges, des choses qui se transformaient, des êtres et des dessins, Merveille des merveilles, j’ai vu homme qui m’était en tout point de vue pareil, à qui je ressemblais, je connaissais la paix et le bonheur qu’il connaissait, j’ai foi en la Vérité.
J’ai vu un jour qui m’a fait songer au Jour du Jugement dernier. Il n’y a que la Vérité.
Louanges à Dieu seul.   
 


Paragraphe 21:



 
Retranscription du paragraphe 21 :
   Dans ce tourbillon où l’âme est perdue dans l’Immensité, dans ces visions inénarrables, il n’y a que la Vérité. J’ai vu mon âme se glisser dans un nom coloré écrit dans l’Espace, le nom n’avait pas d’importance, je ne pouvais le déchiffrer, il y en avait tant encore, je ne saurais les dénombrer, j’ai vu ces mots tourner dans l’espace et se montrer de tous côtés, leurs couleurs étaient splendides, des splendeurs de la Vérité, j’ai imploré la Vérité. J’ai vu des hommes modernes, vêtus de leurs habits colorés, ils me semblaient tous s’amuser, il n’y a que la Vérité.
   J’ai vu des choses de ce monde, tressées dans cette Immensité, j’ai vu des villes et des nombres s’évanouir dans l’Immensité, j’ai vu des couleurs enchanteresses ; il n’y a que la Vérité. Dieu m’a délivré de leur charme, leurs charmes n’étaient que vanité, j’ai mesuré la bêtise d’avoir failli y somnoler, j’ai acquis un peu de l’intelligence que Dieu a voulu m’accorder, je me suis laissé guider vers Lui. à présent, je jurerais que Le Très-saint me gardait et me guidait.
 
 
Paragraphe 22:


 
 
Retranscription du paragraphe 22 :
 
   Puis ce fut la course folle dans Son immensité, vers Sa Gloire sainte, de ceux qui veulent la Vérité, poursuivis par des hordes de démons tenaces, contrits de devoir s’arrêter. Il n’y a que la Vérité.
J’ai vu des Anges immenses et toujours ils grandissaient, côte à côte, dans un ensemble, tirer sur les démons avec toutes sortes d’armes, plus qu’on ne pourrait l’imaginer, je les ai vus devenir immenses, obéissant à la Vérité, n’étant moi-même qu’un atome, éclairé par la Vérité. 
 
 
 
Paragraphe 23:


 
 
Retranscription du paragraphe 23 :
 
   J’ai vu des Anges bons, si grands et si près, tirer de toutes sortes d’armes, sauf sur qui veut la Vérité, je les ai vus si immenses dans cette Immensité, je ne vis plus que leurs bons visages, je les ai vus me protéger, leurs visages étaient si grands dans l’Espace, mais je voulais la Vérité, ils tiraient de toutes sortes de terribles armes, sur tout ce qui n’est pas la Vérité, j’ai vu des archers, des épées, immenses, comme dans un bloc taillés, si serrés que rien derrière eux ne paraissait. J’ai entrevu des armes surpassant l’imagination, ils faisaient feu sur tous les diables et protégeaient les croyants. J’eus tellement confiance, car je voulais …la Vérité…
 
 
Paragraphe 24 :




Retranscription du paragraphe 24 :
 
…leurs armes de moi se sont détournées, protégeant, par ordre de la Vérité et cette armée céleste, comme un seul homme, obéissait. Puis je perdis la Lumière dans cette immense Immensité, il n’y a que la Vérité.
Je ne peux dénier l’atome, baignant dans cette Immensité, cherchant l’Amour de Son Seigneur et Son Seigneur l’a éclairé.
Je me suis vu homme, tel que Dieu m’a créé, je me suis vu dans l’Amour, chéri et adulé par un nombre de femmes, dans un jardin enchanté, il n’y a que la Vérité et même en cet instant, mon âme implorait la Vérité.
 
 
Paragraphe 25 :


 
 
Retranscription du paragraphe 25 :
 
   Je me suis vu seul dans un profond abîme, dans une fente d’un rocher, j’ai vu tant dans cette Immensité. Une lumière m’a éclairé. J’ai mesuré ma solitude et je me suis résigné.
Mais Dieu m’a récompensé. J’ai vu Sa Lumière m’éclairer et dans mon âme elle irradiait. Puis mon Seigneur l’a retirée.
Je n’avais plus que l’espoir en Dieu et j’étais résigné. C’est vraiment grâce à Sa clémence, c’est grâce à Sa générosité qu’Il nous sauve de l’obscurité.
 
 
Paragraphe 26 :


 
 
Retranscription du paragraphe 26 :
 
   Ah, combien est factice la vaine vanité.
Finalement, si je devais décrire toutes ces splendeurs, j’aurais fort à faire, toute ma vie et j’ai cherché la Vérité.
Revenu riche d’intelligence, j’ai vu des splendeurs sans nom qui, toutes, étaient sur mon chemin vers la Vérité.
Mais, sitôt repris dans la vie, je sombre dans la vanité et je prie Dieu qu’Il m’en délivre, en toute humilité. Amen.
Si j’ai frôlé des catastrophes, j’ai cru voir que la vie ne peut être qu’un rêve, même si dans cette vie il y a une réalité et que dans le rêve où j’étais, il m’a semblé être égaré, que je pouvais me…


Paragraphe 27 :


 
 
Retranscription du paragraphe 27 :
 
…bercer dans une illusion de vie et vivre dans une autre vie, que Dieu m’en garde dans Sa bonté, que, s’il voulait me damner, l’égarement serait sans fin et que je ne passerais que par un rêve dans un tourment. Il n’y a que la Vérité.
Grâce à Dieu, j’ai considère cela comme un avertissement et que Dieu, si magnanime, punit très sévèrement, beaucoup plus qu’on ne l’imagine et Dieu est juste, Il est clément, je le prierai toute ma vie pour qu’Il m’en sauve. Amen.
Dans un rêve, j’ai vu un jardin, devant une demeure splendide, autour de moi, des femmes d’une infinie beauté, toutes semblables. Il n’y a que la Vérité. Leur amour unanime ne m’en a pas détourné, c’est un don de mon Seigneur, Seigneur de Mondes, il n’y a que la Vérité.

 
Paragraphe 28 :

 
Retranscription du paragraphe 28 :
 
   Si je voulais décrire, mes mots me semblent insuffisants et, lorsque j’écris, en moi tourbillonnent encore toutes ces visions.
Un seul dessin insaisissable : un mot quelconque dans une magnifique écriture, plus grand que Dieu sait quoi, dans une immensité bleue quelque peu sombre, comme une nuit étoilée, ces lettres mouvaient dans l’ombre, leurs couleurs étaient irisées dans la verticalité mouvante, dans un mouvement tournoyant, se sont montrées en tournant dans l’Espace et mon âme s’y est glissée. Il n’y a que la Vérité.
J’ai vu des gens de ce Monde (qui étaient) habillés comme en Occident, vêtus de vêtements colorés, bariolés, avec des nombres (inscrits dessus) et s’en aller en souriant, mais leur rire ne me plut guère. Il n’y a que la Vérité.
 
 
Paragraphe 29 :


 
 
Retranscription du paragraphe 29 :
 
 J’ai vu des flèches dans l’espace, des signes aux mille couleurs qui, dans une folle course couraient toutes vers le Seigneur. Dans ce cortège qui file, je sens derrière moi des gorets, des diables qui poursuivent et tentent de s’emparer des croyants qui veulent la Vérité. Tout à coup paraissent des Anges et les diables s’immobilisent, ils renoncent à leur proie, ils sont dans l’impuissance totale, leurs bras retombent, ils lèvent leur museau féroce aux crocs cachés vers le ciel, apeurés. D’un regard impassible, les Anges les ont arrêtés.
Au-dessus de toute cette immensité et bien au-delà et pourtant si près, a puissance divine se manifeste et, si mon Dieu me le permet, je songe à Sa sainte justice, invisible et présente et Il commande Ses Anges si ordonnés, d’une puissance terrible. Il n’y a que la Vérité.
 
 
 
Paragraphe 30 :



 
Retranscription du paragraphe 30 :
 
 
 
 
 
    
 
 
 
   Dans un mouvement unanime, en rangs serrés et impassibles, ils faisaient feu de toutes leurs armes, plus qu’on ne peut imaginer. Ils étaient
justes et infaillibles, ils obéissaient sans pitié. Il n’y a que la vérité.
Au-dessus de tout est notre Seigneur, invisible dans cette immensité, mais l’âme ressent Sa proximité. Je regardais vers Lui, je voulais Sa Vérité, je ne pouvais Le voir, mais je me sentais guidé. Les Anges, (pendant) un court instant, dans un mouvement, sans s’arrêter, de droite à gauche, ont pointé des armes vers moi et les ont détournées, il n’y a que la Vérité.
 
Paragraphe 31



Retranscription du paragraphe 31 :
 
   (Pendant) un instant, je vis leurs armes sans cesse se transformer et répandre fer et flammes sur une horde de démons et protéger la Vérité. Ils agissaient au Nom du Seigneur Qui protège la Vérité. Le devoir des Anges est de protéger la Vérité, d’épargner celui que Dieu guide et c’est ainsi que je passais, conscient de ma sérénité, je voulais la Vérité.
 
 
Paragraphe 32:

 
Retranscription du paragraphe 32 :
 
   J’ai vu des dessins mirifiques, des dessins qui mouvaient, je me suis vu couché sur l’herbe, en plein jour, sous les arbres et je me disais que cela ne pouvait être vrai. J’ai vu des géométries multicolores qui sans cesse s’entrecoupaient, parfois fentes dans cette immensité, elles luisaient en transparence d’ors et d’argents et de diamants, j’ai vu des linéarités, rouge de rubis, s’envoler près des géométries d’émeraudes dans des dessins mouvants et changeant dans une immensité, comme des pages transparentes qui tourneraient, qui tourneraient, qui voleraient, qui changeraient de forme et de couleurs pour aussitôt en épouser d’autres plus magnifiques (encore), splendeurs d’ingéniosité où tous les tons étaient inconstants, en veux-tu, moi qui les voyais, il n’y a pas de limite à cet ébahissement, les formes de géométrie, dans tous les sens se déployaient, changeant de couleurs constamment, de magnifiques splendeurs irisées qui passaient par tous les tons que l’on pourrait imaginer, dans un mouvement continu, parfois en grandissant, à leur rapprochement, les lignes étaient des entes transparentes, derrière elles déjà mouvaient des ors et des rubis, des émeraudes, des bleus chatoyants et changeants, des rouges incandescents, des oranges lumineux et mouvants, des violets irradiants, changeant de couleurs et de formes constamment dans un lent et majestueux mouvement.
Parfois, ces formes dans l’espace, narguaient mon entendement, elles mouvaient dans l’espace, merveilleuses de changements, elles chaviraient mon âme, dépassaient ma compréhension, je compris qu’il n’y avait pas de limite à ces magnifiques miroitements.
Il n’y a que la Vérité.
 
 
Paragraphe 33 :


 
 
Retranscription du paragraphe 33 :
 
   J’ai vu des caricatures, des personnages animés, aux couleurs de la vie, qui provoquaient l’hilarité, ils étaient vraiment infimes, aimables petites caricatures vivantes et fixes dans une profusion de couleurs, de têtes qu’on nomme de pipes, celles des dessins animés qu’auraient exécuté le meilleur des artistes, dans un grand jour inspiré. Il n’y a que la Vérité.  
   J’ai vu un tableau grandir, un endroit bien éclairé, une petite partie avec des traits épais de couleurs blanchâtres, sur un fond bleu irisé qui constamment grandissait et vivait d’une irisation, dans la tendresse des couleurs je reconnus la Vérité.
Je vis des millions de paysages, en splendeurs inégalées, mouvant sans cesse dans l’Immensité. Il n’y a que la Vérité.
 
 
Paragraphe 34 :


 
 
Retranscription du paragraphe 34 :
 
   J’ai vu d’en haut dans une fosse qui semblait être un puits, un damné, gros comme un cochon qui tenait ses crocs cachés, les mains sur son ventre, il priait, mais d’une curieuse façon de damné, encore empreint de fausseté et priant la Vérité. Dans sa prière, dans son ignorance, il se rendait au Seigneur et ne savait pas prier, sas comprendre la Vérité. Il accusait d’autres damnés, sans doute, invoquait La Magnanimité, il était seul dans sa fosse que Dieu avait illuminée d’une lumière faible, rouge d’un côté et verte de l’autre.
 
 
Paragraphe 35 :


 
 
Retranscription du paragraphe 35 :
 
   Je prie Dieu qu’Il sauve mon âme, je fus, pendant un instant, ce goinfre d’ignominie, cette horreur d’hypocrisie et je connus tout son tourment. Il priait Dieu sincèrement parce qu’il était plus que perdu, il avait traversé bien des tourments et savait qu’il n’en sortirait que si il priait Dieu incessamment, mais, entre ses crocs impies sifflaient des imprécations, il disait des ignominies, disait du mal des damnés et demandait à Dieu leur châtiment, mais lui, il ne savait dans quel tourment il se trouvait, il avait passé bien des années dans le tourment et l’illusion, il était cloîtré dans sa fosse et priait Dieu, conscient de ses iniquités, que Dieu m’en garde et Dieu m’en sauve, il était quand même perfide, impur, ne cessait de prier et je jurerai par le Seigneurs des Mondes qu’il savait à peine prier.

 
Paragraphe 36 :


 
 
Retranscription du paragraphe 36 :
 
   Avec cette ignoble bête, je me suis, (pendant) un instant, confondu et mesurai l’incroyable abîme où la bête était égarée.
N’était une grâce sublime de mon Seigneur le Vénéré, je ne me fus souvenu de ma vie, ma vie dans laquelle Il m’a guidé, j’ai repris espoir en me souvenant que j’étais pieux et que je ne devais pas m’alarmer, mais l’avertissement était si sérieux que je le sens à mon sujet. Il n’est de dieu que Dieu, sublime Souverain de l’Immensité, Seul Savant de Sa grâce infinie et de Son Immensité.
 
 
Paragraphe 37 :
 
 
Retranscription du paragraphe 37 :
 
   Petit atome dans les cieux, dans un petit endroit de Son Immensité, une lumière m’a baigné. Louanges à Dieu seul. Dieu seul en soit loué.
Lorsque Satan se manifeste, je cherche refuge auprès de Dieu et je prie Dieu qu’il l’écarte. Il n’y a que la Vérité.
Lorsqu’on cherche refuge auprès de Dieu, de Satan le lapidé, on voit le mal et on l’évite, mal inspiré par cet ennemi tenace qui, de toutes ses forces, nous aveugle et nus pousse à la méchanceté, à faire du mal sans se soucier, à être ignobles et ignorants, à nous faire passer à la vie par des sentiers mensongers, vers l’arrogance et la folie, il essaie de nous subjuguer, vers l’injustice et l’infamie, mais, grâce à Dieu, je vivais, je vis le mal que j’allais faire à une humble araignée, mais je la vis d’un regard pur, flattant dans Son Immensité, humble petite créature, que Son Créateur nourrissait, reconnaissante, elle accueillait le don béni et remerciait son Dieu auquel, humble, elle faisait confiance et notre Seigneur l’a sauvée. Il n’y a que la Vérité.
 
 
Paragraphe 38 :



 
Retranscription du paragraphe 38 :
 
   Dans la faveur la plus immense que Dieu veuille nous accorder, Il décrète l’humilité. Il n’y a que la Vérité.
Je jure par Dieu, notre Seigneur et Maître, que le rire est vite passé lorsque l’on frôle la Justice dans un tourment mérité, qu’on tombe au plus profond de l’abîme, dedans la fente d’un rocher, quand Dieu fait ouvrir la tombe et que l’on s’y couche, résigné, quand on croit déjà à la damnation, que la tombe, par Sa grâce, reste ouverte et qu’un espoir de Lui nous vient et dans Sa miséricorde Il fait briller Sa Lumière et la répand sur Sa créature et je vis ma tombe ouverte, spacieuse, l’Ange ne l’avait pas fermée et je repris espoir. Il n’y a que la Vérité.
Si, par orgueil, on pêche, que l’on oublie l’humilité, Dieu, sévère, est prompt et punit cette iniquité. Il n’y a que la Vérité.
Comment dire Sa proximité quand soudain Il s’éloigne et que tout devient obscurité et que Dieu revient à Son serviteur résigné et que Son serviteur, dans l’humilité, reconnait Sa grandeur et Sa bonté, qu’il reconnait Sa toute-puissance et qu’il s’est laissé tromper, si proche de La Générosité. Il n’y a que la Vérité.
Par Dieu, mon Créateur, Le Créateur de toute chose, Satan est le pire ennemi, il fait tout ce que Dieu lui a permis, pour perdre une de Ses créatures, pour perdre toute l’humanité. Il s’acharne avec une incroyable ténacité, nous aveugle avec perversité, mais, devant Dieu, il abandonne, à Son ordre, il est impuissant et Sa créature est libérée. Il n’y a que la Vérité. Louanges à Dieu seul. Il n’a pas d’associé.

 
Paragraphe 39 :


 
 
Retranscription du paragraphe 39 :
 
   Lorsque je vis cette lumière, Dieu fait de Sa créature ce qu’Il veut, je la vis du fond de l’abîme, il n’y a que la Vérité, je la vis au bord de la tombe, résigné, voulant m’y coucher, je la vis dans mon âme et sur ma couche alité, j’étais (me sentis) rendu dans ma chambre après cette immensité et je me retrouvai seul après cette nature dans laquelle Dieu m’avait placé. Il n’y a que la Vérité.
Louanges à Dieu seul.
J’ai refusé tous les artifices, j’ai refusé toutes les splendeurs, toutes les beautés mirifiques, il n’y a que la Vérité.
Même au plus profond du délice, dans ce jardin enchanteur, entouré de tant de femmes, toutes semblables de beauté, dans cette splendeur magnifique, dans les fleurs et devant ce palais, il n’y a que la Vérité. Aux regards des amoureuses, mon Dieu, comme elles se ressemblaient !, on aurait dit une seule image tant de fois répétée, aux visages vers moi tendus, devant ce magnifique palais, sur une somptueuse couche, aux atours dorés, dans cette magnificence, parmi les fleurs de beauté, il n’y a que la Vérité.
Louanges à Dieu seul.

 
 
Paragraphe 40 :




 
Retranscription du paragraphe 40 :
 
   Combien de fois me suis-je demandé, par mon Seigneur magnifique, et ceci n’est pas un jeu, je me suis demandé combien de fois le Diable m’avait trompé.
Seul Dieu le sait, Le Pardonneur et si, parfois, j’en doute, je revois encore mon bonheur, par mo <seigneur éclairé. Il n’y a que la Vérité.
Je vois encore la tromperie, Dieu veuille bien m’en préserver, je vois miroiter des mirages pour nous cacher la Vérité. Satan l’impie nous talonne et nous nargue, il fait tout pour nous détourner, l’infâme ennemi nous aveugle, mais, lorsque vient la Vérité, impuissant, il nous abandonne, il n’y a rien que la Vérité.
Louanges à Dieu seul.
 
 
Note:
il apparaît dans ce récit que j'avais tendance à refuser les splendides visions qui émaillèrent le cours de cette expérimentation, sans me douter que, plus tard, j'obtiendrais l'explication de leur raison d'être.
 
 
 

 
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